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Este desconocimiento propició distintas denominaciones en los periódicos que acudieron a dar información a la población sobre la misma. Referida en un principio bajo el término italiano influenza, la denominada también epidemia del día pasó de un discreto segundo plano a ocupar las primeras páginas de los diarios a medida que aumentaron y se extendieron los síntomas por todo el país. Además de los datos referidos a Madrid también se mencionan en este artículo los contagios en Barcelona, Burgos, La Coruña, Ferrol, Palencia y Valencia. La propia redacción de El Liberal se vio seriamente afectada por la enfermedad a consecuencia de la cual sufrieron baja temporal 22 trabajadores.
Su portada de 27 de mayo dedica un extenso artículo, a dos columnas, donde se abre paso la naturaleza gripal de la enfermedad. Haciendo mención a la epidemia de gripe del invierno de 1889-1890, las autoridades sanitarias acudieron a calmar a la población cada vez más asustada, descartando teorías alarmistas, como la contaminación de aguas y removido de tierras con motivo de la construcción del metro de Madrid.
El desconocimiento de medicamentos para atajarla y de vacunas para su prevención hicieron de las recomendaciones saludables: régimen alimenticio sano, aire libre, aireación extrema de locales y viviendas, aislamiento de enfermos y limpieza extrema, entre otros, las principales armas para combatirla. Del mismo modo se recomendó evitar reuniones grupales en sitios cerrados: cafés, tabernas, casinos y espectáculos públicos, que se vieron obligados a suspender funciones. La desinfección de lugares de reuniones, como los salones del Congreso y Senado, marcó la pauta de actuación en este sentido en lugares públicos.
La epidemia de moda tambien se abrió paso en los artículos de opinión. Es el caso del firmado en la primera página por Manuel Machado en la sección semanal, “Día por Día. De mi calendario”. En ella el escritor expresa la escasa seriedad con la que se había tomado la enfermedad hasta ese momento y la necesidad de tomar medidas más contundentes para atajarla.
La brusque apparition à Madrid de nombreux cas d'une maladie inconnue, pendant la deuxième semaine de mai 1918, effraya la population qui ne sut pas faire face à l'augmentation des contaminations et des infections.
Cette méconnaissance donna lieu à de nombreuses appellations dans les journaux qui informaient la population sur la maladie. Initialement nommée influenza (terme italien), celle que l’on appela également l’épidémie du jour, passa d'un discret second plan dans les journaux aux premières pages au fur et à mesure qu'augmentaient et s'étendaient les symptômes dans tout le pays. En plus des données dont l'on disposait sur la population à Madrid, cet article mentionne les contaminations à Barcelone, Burgos, La Corogne, Ferrol, Palencia et Valence. La rédaction du journal El Liberal elle-même fut sévèrement touchée par la maladie qui provoqua l'arrêt de travail de 22 collaborateurs.
Dans sa une du 27 mai, le journal lui consacre un long article sur deux colonnes et parle pour la première fois du caractère grippal de la maladie. En mentionnant l'épidémie de la grippe hivernale de 1889-1890, les autorités sanitaires réussirent à calmer la population toujours plus apeurée en écartant les théories alarmistes comme la contamination de l'eau et les transports de terre dus à la construction du métro de Madrid.
La méconnaissance des médicaments pour enrayer la maladie et des vaccins pour sa prévention firent des recommandations sanitaires, comme un régime alimentaire sain, l'air libre, l'aération renforcée des locaux et des demeures, l'isolement des malades et une extrême propreté, les principales armes pour combattre la maladie. De la même façon l'on recommandait d'éviter les réunions en groupe dans les lieux fermés : les cafés, les tavernes, les casinos et les espaces publics qui se virent dans l’obligation de fermer. La désinfection des lieux de réunion, comme les salons du Congrès et du Sénat, marqua la façon d’agir dans les lieux publics.
Les articles d'opinion ouvrirent également leurs colonnes à l'épidémie à la mode. C'est le cas de l'article signé en première page par Manuel Machado dans la rubrique hebdomadaire "Mon agenda au jour le jour". L'auteur y dépeint le peu de sérieux avec lequel avait été envisagée la maladie jusqu'au moment où il s'était avéré nécessaire de prendre des mesures drastiques pour lutter contre elle.
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